Après le double melon, voici un Phalaenopsis en mutation.
Cette orchidée compte deux, voire trois pétales, si on compte le labelle.
Malgré la mutation la fleur reste bilatérale, à la manière des papillons. Avec un miroir il est possible de reproduire la deuxième moitié de la fleur.
C’est le dernier bouton d’une longue floraison, la fleur ne s’est pas développée jusqu’au bout.
Un bêtisier de Noël, version dame nature.