Sans rentrer dans le détail des raisons qui m’ont poussé à préférer Mac à PC pour mon ordinateur personnel, voici ma propre expérience dans ce passage PC Mac un peu traumatisant en ce qui concerne les logiciels graphiques et de publication web.
Le but de départ est de pouvoir publier en ligne des pages et des images avec un rapport qualité prix qui puisse permettre de manipuler les images et du texte sans perdre trop de temps.
Au départ sur le PC j’utilisais trois logiciels :
Filezilla : Un bon petit logiciel libre pour transférer des fichiers sur un serveur, ce logiciel est utilisé par des débutant et des pros.
Le bloc notes : Ce n’était pas vraiment un bon choix, mais cet outil pour créer du texte peut permettre de créer/modifier du code. A l’aire du web 2.0 cela devient un peu barbare de réaliser un site avec cet outil (mais c’est suffisant pour faire quelques modifications).
Ces deux premiers logiciels sont en général remplacés par le logiciel Dreamweaver dont les fonctions et le prix dépasse les deux premiers (Je n’ai donc pas pris Dreamweaver sur PC).
Dernier logiciel : Photoshop Elements, autant le dire tout se suite, ce logiciel est pour moi irremplaçable, j’ai appris à l’école dessus, j’ai travaillé dessus, les différentes expériences sur Gimp (pourtant libre et gratuit) me semblaient limiter mes possibilités. Je pense cependant qu’avec bonne formation sur Gimp le rapport aurait été sans doute différent.
Bref…
Je passe de PC à MacBook et donc j’essaye de trouver des équivalents.
Pour Filezilla, on ne change pas une équipe qui gagne, je le conserve sur Mac.
Pour le bloc notes, je fais une vraie recherche et je trouve Smultron, un logiciel libre plus puissant qui ne remplace pas un Dreamweaver, mais qui aide bien pour la saisie de code. Plus tard je passerais à WordPress pour mon blog, ce qui permet de démultiplier le temps de publication. Avec WordPress, plus besoin d’éditeur, il y en a un en ligne.
J’ai découvert également Iphoto, livré avec mon MacBook, un logiciel qui permet de gérer sa bibliothèque de photos et même faire des albums photos web, une petite option dont je me suis servi pour faire des petites planches en ligne.
Cet outil a un avantage, il ne laisse pas de backlinks vers l’éditeur. Bon nombre d’outils Web 2.0 quand ils sont gratuits drainent un peu de liens à chaque page.
La qualité d’un logiciel se paie souvent d’une manière ou d’une autre…
Pour conclure le trio FileZilla, Photoshop Element, WordPress me semble le meilleur compromis quand on veut développer un maximum de pages avec une qualité acceptable.