C’est un grand magnolia blanc avec une panthère noire ou un petit magnolia avec un chat.
Une photo du dimanche à mettre dans le carnet de voyages.
C’est un grand magnolia blanc avec une panthère noire ou un petit magnolia avec un chat.
Une photo du dimanche à mettre dans le carnet de voyages.
Après plusieurs essais infructueux, j’ai réussi à prendre en photo ce groupe de fleurs de gui.
Une petite étoile à quatre pointes en ogives, en ce point il y a des similitudes avec le Lilas, la couleur jaune citron et la disposition sont cependant bien différentes.
Ce sont des fleurs de gui mâles avec quatre tépales et anthères, contrairement à un article précédent ou était présenté la fleur de gui femelle que je n’avais pas encore bien identifiée.
Ici encore sans un objectif macro impossible de saisir les détails de la fleur mâle comme la femelle.
Cette plante parasite demande un peu de courage et d’équipement pour être présent au bon moment avec le bon matériel.
Le gui est souvent inaccessible et de plus sa fleur est vraiment réduite. N’ayant pas du matériel de paparazzi je suis contraint d’attendre l’occasion.
Il faut le savoir la fleur s’ouvre en mars avril, et après avoir trouvé un rameau en mars à la suite d’une tempête, j’ai regardé à la loupe les petits bourgeons, ce sont des fleurs femelles.
Pour le moment je n’ai que l’hydrangea dans la catégorie des fleurs à 4 sépales ou bractées.
En prenant la photo au raz du sol, le cadrage devait être approximatif.
Le soleil dans le viseur et une vue macro, deux éléments qui ne laissent pas de place à la fantaisie.
Pourtant c’est une photo que j’aime bien, car elle est riche en petits détails.
Une araignée à commencé à tisser des fils vers un pied de tulipe qui vient juste de sortir de terre.
Nous sommes en mars, la terre est noire et les premières pousses vert tendre.