Son nom est « Brassia eternal wind », une orchidée en forme d’araignée. La floraison s’est déclenchée au voyage retour ce qui m’a permis ensuite de réaliser des photos et surtout cette aquarelle :
Le fond n’est pas de l’aquarelle, mais de l’encre de Chine.
Le tube d’aquarelle noir n’aurait pas été suffisant pour obtenir un noir dense avec ce type de papier, c’est donc avec un peu de regret que j’ai été obligé de mixer les deux techniques.
L’orchidée Brassia dispose de pseudobulbes, ce sont des renflements à la base des feuilles qui permettent de garder des nutriments, même dans des situations ou il y a peu de substrat.
Il faut imaginer l’orchidée perchée sur une branche pour comprendre à quoi servent les petites réservoirs (que l’on ne voit pas sur ma peinture).
J’ai entendu dire que les guêpes pouvaient venir la piquer en pensant s’attaquer à une araignée. C’est peut-être une rumeur mais peut-être un jour j’assisterai à ce spectacle étrange !