Les œillets sont des caryophyllacées et comme de nombreux membres de cette famille leur pétales sont découpés au ciseau à cranter.
Les œillets blancs du fleuriste arrivent « en botte », la surface ressemble à de la dentelle plissée qui forme une surface irrégulière et délicate.
Il est bien difficile de reconnaître dans les circonvolutions de cette surface, les pièces florales d’une stellaire ou d’un lychnis qui présentent pourtant des pétales échancrés avec encore plus d’audace.
La dentelle blanche de l’œillet viendra orner une robe de mariée ou une veste après avoir fait le bonheur du jardinier.
Après plusieurs essais infructueux, j’ai réussi à prendre en photo ce groupe de fleurs de gui.
Une petite étoile à quatre pointes en ogives, en ce point il y a des similitudes avec le Lilas, la couleur jaune citron et la disposition sont cependant bien différentes.
Ce sont des fleurs de gui mâles avec quatre tépales et anthères, contrairement à un article précédent ou était présenté la fleur de gui femelle que je n’avais pas encore bien identifiée.
Ici encore sans un objectif macro impossible de saisir les détails de la fleur mâle comme la femelle.
Cette plante parasite demande un peu de courage et d’équipement pour être présent au bon moment avec le bon matériel.
Mon petit journal graphique
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.Ok