Cette seconde planche de BD vient de s’achever avec la mise en place de quelques ombres et lumières.
J’en ai profité pour rectifier quelques détails comme le retrait de l’étal sur le marché. En effet des photos plus récentes et certaines cartes postales m’ont prouvé que les fleurs étaient juste disposées sur le sol dans des paniers.
Plus troublant, j’ai retrouvé un épagneul noir sur des cartes postales de l’époque. Comme celui visible sur les photos de ma famille.
Il est possible qu’un jour je complète cette histoire avec l’avant et l’après, mais pour le moment je n’ai pas assez de précisions sur les lieux d’évacuation.
La fraise Duchesnea indica (fraisier des Indes) n’est pas vraiment comestible, sauf si vous êtes perdu en forêt et que vous n’avez que cela pour survivre (elle provoque des désordres digestifs).
Elle se différencie de nos fraises des bois par la position dressée de la fraise en bout de tige.
Elle arrive à murir même en décembre, la preuve en image…
C’est vrai qu’elle pas bien grosse et qu’elle se loge dans des endroits un peu abrités (au pied des murs et à couvert d’autres plantes), ce n’est pas la seule Rosacée qui fait de la résistance, vu que certains rosiers sont encore en fleurs.
La partie charnue rouge est un faux fruit, les fruits étant les petits akènes qui tapissent la surface.
Duchesnea indica est une espèce qualifiée d’invasive en Belgique on comprend qu’à fructifier en hiver elle à un gros avantage sur la fraise des bois.
L’hiver étant doux, j’en ai profité pour faire une petite balade.
Le gel est arrivé brièvement puis a rebroussé chemin.
Certaines plantes sont déjà en décomposition alors que d’autres profitent de l’aubaine pour se constituer de solides réserves. Elles se font remarquer par des couleurs insolentes, sorties directement de gros tubes de peintures.
Entre la vie et la mort les contrastes de couleur sont parfois violents, c’est ce qui fait la beauté de ces petits coins perdus.
Cela faisait un bon moment que l’idée me trottait dans la tête, j’avais envie de montrer comment fonctionnait l’horloge de mon site.
Je voulais faire un remontoir steampunk sans mettre trop de rouages. J’ai opté pour la mise en place d’une « cage à écureuil », comme celles utilisées par les hommes pour servir de grue au temps des cathédrales gothiques.
Mon horloge indiquait déjà les heures et les phases de la lune, c’est donc une petite complication supplémentaire pour amuser la galerie.
Le hamster vient remonter cette horloge entre 12h et 13h sur mon site principal :
En dehors de cette heure vous ne le verrez pas, il dort 🙂
Mon petit journal graphique
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.Ok