Le jardin étant dévasté, j’ai décidé de faire des fleurs… en papier.
L’épaisseur du papier à son importance, si elle conditionne la résistance du futur volume, elle joue également sur la difficulté du pliage.
J’ai pour ma part utilisé un papier un peu épais qui m’a donné un peu de fil à retordre lors des dernières opérations.
Au bout de quelques minutes, j’ai été obligé de sortir mon arme secrète : Le coupe papier.
Dans les derniers moments, je ne comprenais plus ce qui était marqué sur mon manuel, c’est impressionnant comment au bout de 5 plis on se retrouve dépassé par la complexité…
Les vraies fleurs déploient parfois leur pétales de manière un peu froissées, c’est le cas notamment de certaines Papavéracées à 4 pétales très fins.
D’autres comme la fleur de gui sont plus robustes et ressemblent à des bourgeons.
J’ai essayé de plier les ptits papiers et voici le résultat :