Un Vanda est vendu généralement sans substrat, pendu à une nacelle avec des racines aériennes fort développées.
Dans une serre, son arrosage se fait par vaporisation régulière, les gouttes tombant sur le sol ce qui recrée une atmosphère humide, chaude et lumineuse.
Pour entretenir celui-ci dans un salon, on utilise un tube en verre qui permet de « bassiner » la plante régulièrement afin que les racines continuent à se développer. Une fois trempées les racines grises deviennent vertes et ressemblent à des haricots.
Pour rester honnête, le Vanda présenté ici n’est pas le mien (le mien n’a pas fleuri cette année), néanmoins, entouré d’orchidophiles, je me dois de faire cette présentation sur cette re-floraison qui défie toujours la conception habituelle d’une plante (des racines dans de la terre ou de l’eau).
Chez les orchidacées on trouve toutes les couleurs du spectre (le noir n’étant pas une couleur) et ce Vanda complète cette gamme avec le bleu qui reste assez exceptionnel.
Au début, j’ai cru que c’était un morning glory… J’en suis à ma millième orchidée… je les fais toutes mourir !
Morning glory ? Non cela ne me dit rien.
Heureusement avec Internet je ne suis pas resté longtemps sans réponse : Une convolvulacée tricolore 🙂
Pour tes orchidées, tu devrais essayer les variétés de jardin, il y en a des rustiques et je suis certain qu’en Bretagne tu aurais des beaux résultats.
Merci pour ton passage.
Oh, c’est absolument magnifique! Ma préférence pour la troisième photo! …
J’aime beaucoup les orchidées, mais n’ose pas les faire rentrer chez moi, je n’ai pas la main verte non plus…
Je te souhaite un excellent week-end Yann
Merci Kenza,
Faire refleurir un Phalaenopsis est bien moins dur que cultiver un Vanda qui est une plante de passionnés.
Moi c’est pour les animaux que j’essaye d’être raisonnable, si je n’ai pas la capacité de leur offrir un espace correct je préfère m’abstenir.