Le Nuphar lutea est un nénuphar jaune de la famille des Nymphéacées.
Habituellement ses rhizomes sont au fond de l’eau on ne peut pas les voir, pourtant, au mois d’octobre d’étranges concombres blancs et charnus flottent à la surface des étangs.
Leur surface comporte des cicatrices circulaires, reliquats de la disparition des pétioles.
Chez cette plante, les représentations des feuilles et des fleurs sont très courantes, les fruits (baies) et les rhizomes sont par contre moins exposés aux regards des photographes.
C’est pourtant grâce aux rhizomes que la plante peut rapidement s’étendre sur de grandes surfaces à partir d’un même individu.
La pollinisation croisée intervient seulement quand le pollen voyage d’une fleur à l’autre.
Au centre de la fleur, les stigmates forment un disque qui sera découvert progressivement par l’ouverture des tépales. Cette astuce favorise en premier la fécondation de la partie femelle avec par exemple l’atterrissage de coléoptères qui viennent d’autres fleurs.
L’ouverture des tépales laissera ensuite a découvert les étamines, la partie mâle de la fleur.
Chez ma soeur, elle habite près d’une rivière, il y plein de nénuphars. Ils vont ils viennent (selon la saison ?). J’aime beaucoup cette plante surtout sa feuille, ce radeau qui flotte… et qui me fait penser à Tarzan qui, dans la vieille version, se promène ou fuit (je ne sais plus bien) sur un nénuphar. Ca me fait réver… (pas Tarzan mais la balade en nénuphar…).
Tu m’as fait bien rire Bretagne avec ton histoire de Tarzan.
Je ne connais pas cet épisode avec les nénuphars, j’en étais resté aux lianes avec la question suivante :
Comment fait-il pour trouver toujours une liane tendue en diagonale ?
Mais c’est vrai que la marche sur l’eau est également un talent extraordinaire que nous avons perdu avec notre coté sauvage.